Une mosaïque exceptionnelle découverte à Avenches

On peut dire que le Musée romain d’Avenches, qui va fêter ses 180 ans, a reçu un beau cadeau d’anniversaire. En effet, les archéologues des Site et Musée romains d’Avenches qui, depuis début avril, suivent les travaux d’implantation de nouvelles canalisations à la route du Faubourg, ont récemment mis au jour une mosaïque exceptionnelle. Hier après-midi, une partie des mystères que cette œuvre recèle a été dévoilée.
«On trouve très peu de mosaïques. En trente ans, on en a découvert seulement trois et elles étaient en noir et blanc», explique Marie-France Meylan Krause, directrice des Site et Musée romains d’Avenches. «En outre, celle qui vient d’être trouvée est particulièrement remarquable. Tout d’abord, son état de conservation est excellent. Ses couleurs ont été préservées et sa composition est très particulière», précise la directrice. (...)

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Etape importante pour Valbroye

Samedi 1er septembre, dans le cadre d’une journée portes ouvertes destinée à la population, la Municipalité de Valbroye a inauguré officiellement les nouveaux locaux mis à disposition de la voirie et de la défense incendie. En parallèle, le Groupe E Celsius, ouvrait les portes de la centrale de chauffage à distance construite sur le site.
Menés en parallèle, ces chantiers ont évolué dans un climat de saine collaboration que les orateurs du jour ont tenu à relever. «Une fois n’est pas coutume, mais tout a fonctionné à la perfection», s’est réjoui le syndic Guy Delpedro, qui a salué le professionnalisme des concepteurs du projet, Fanny Terrin-Barbier, architecte et Yves Diserens, ingénieur du bureau Küng & associés. (...)

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Le Moulin Bossy peut démarrer sa reconstruction

«Le permis de construire de Bossy Céréales respecte le cadre légal et, tous les préavis des services concernés étant favorables, nous l’avons accordé en date du 31 août 2018.» Nicolas Kilchoer, préfet de la Broye, et Joël Bourqui, son lieutenant, ont réuni la presse mardi pour expliquer leur décision, sur un dossier qui a fait couler beaucoup d’encre et qui compte quelques opposants parmi les riverains.
Si le moulin construit par la famille Bossy en 1852 fait bien partie du paysage broyard, le projet d’agrandissement prévu par Simon-Pierre Kerbage, qui le dirige depuis 1999, a suscité l’opposition de certains voisins qui s’inquiètent entre autres des dimensions du projet, des mouvements de camions ou de la sécurité sur la route.(...)

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La sécheresse assomme les paysans

«On a déjà entamé les réserves de fourrage prévues pour cet hiver.» Lucien Rossat est un agriculteur inquiet. Frappés comme toute la branche par la sécheresse qui touche le pays depuis plusieurs mois, lui et son cousin, Roland Rossat, devront trouver des solutions pour nourrir les 50 vaches laitières de leur domaine de Granges-sous-Trey. Avec une production annuelle d’environ 400 000 litres pour le fromage Le Maréchal, à Granges-Marnand, ils ne donnent pas d’herbe ensilée. «Habituellement, nous mettons les bêtes au pâturage et nous coupons exclusivement pour les foins et les regains», explique Lucien.
Sauf que, cette année, depuis fin juillet, l’herbe est aussi jaune que de la paille et les vaches restent à l’ombre. «Plus rien ne pousse!» Résultat: les deux agriculteurs ont effectué l’équivalent de seulement deux coupes, contre trois ou quatre en temps normal. «Pour l’instant, nous avons pu trouver une solution auprès d’un agriculteur de la région, mais si le problème persiste, il faudra aller se fournir ailleurs.» (...)

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Le Tattoo va s’emparer de la cité romaine

Du 6 au 8 septembre prochain, les arènes d’Avenches vibreront au son de la musique militaire. Le traditionnel Tattoo accueille pour sa 14e édition dix formations, soit plus de 500 musiciens. En tête d’affiche, on trouve The Band of Her Majesty’s Royal Marines, un ensemble très prestigieux qui se produit régulièrement pour la reine d’Angleterre. Les spectateurs pourront également admirer les prestations de la Musique de la Gendarmerie mobile, de Paris, ainsi que du groupe hollandais, Kunst en Genoegen, plusieurs fois champion du monde. Les recrues finlandaises du Conscript Band of the Defence Forces et les musiciens suisses de l’Ecole de recrues 16-2 s’associeront quelques instants. «On essaie de plus en plus d’organiser des parties communes, explique Ludovic Frochaux, directeur de production. Cela rend le spectacle plus attractif.» (...)

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Le fumet de la Bénichon en souvenir

Depuis des mois on parlait de cette Bénichon du Pays de Fribourg. Eh bien elle a vécu et plutôt bien, selon les organisateurs. Ces derniers avaient monté une cantine pouvant accueillir 700 personnes, sur la plus grande place d’une vieille ville peu pratique pour ce genre d’exercice. Mais ce lieu festif n’a pas désempli, trois jours durant. Au total, 2000 coques et 300 kilos de farce de vol-au-vent, 300 kilos de gigot désossé et 70 jambons ont été servis et engloutis par les convives. Tout ceci grâce aux neuf cuisiniers et aux quelque 240 bénévoles qui n’ont pas chômé pour servir tous ces plats. A noter que huit restaurants partenaires proposaient aussi le menu de Bénichon à leur carte. (...)

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Pour la Bénichon, la fête est dans l’assiette

Estavayer-le-Lac s’apprête à dresser l’immense table de la Bénichon du Pays de Fribourg, 6e du nom, du 24 au 26 août. Le bourg médiéval va s’animer autour d’une tradition bien ancrée dans la région. Selon les organisateurs, emmenés par leur président Pierre-André Arm, l’édition 2018 se veut grandiose car elle ne sera pas seulement la fête d’une ville et d’un district, mais de toute une région et d’un canton.
En attendant le coup d’envoi, ce vendredi, il reste donc quelques heures aux Broyards pour préparer leur estomac en vue du gargantuesque menu de circonstance. Et quelques heures avant le coupe de feu, nous sommes allé rendre visite au maître boucher Laurent Droux.

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En balade avec Max et «son» p’tit train

Le p’tit train d’Estavayer arrive sur la place de la Gare. «Bonjour, entrez déjà», lance avec joie Max Wehrle, en m’ouvrant la porte passager de sa locomotive, qui arpente les rues étroites de la Cité à la Rose depuis vingt ans. Il est 10 h, le klaxon retentira 10 minutes plus tard pour donner le départ de la première balade de la semaine, en ce lundi matin pluvieux.
«On m’a annoncé une personne en fauteuil roulant qui entrera à la Source», introduit le pilote militaire retraité, qui prend plaisir, tout en rendant service, en travaillant pour le p’tit train touristique depuis seize  ans. En ce mois d’août, c’est le lundi qu’on le trouve derrière le volant de ce véhicule de presque 14 mètres de long. «Je roule pour dépanner. Le reste du temps, j’ai la responsabilité de gérer le fonctionnement du p’tit train», explique-t-il. Car s’il faut organiser la cinquantaine de sorties spéciales et de courses VIP qui ont lieu par année, il faut aussi gérer le planning des cinq chauffeurs tout en respectant leur temps de repos légal. De plus, il est également prioritaire d’organiser l’horaire du p’tit train, qui change presque chaque mois, pour respecter au mieux la demande selon les saisons. (...)

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Dans les pas de la Fée verte et du rock

A l’heure où les dernières notes de musique de Rock Oz’Arènes ne sont plus qu’un souvenir, il en est un autre qui flotte encore dans les mémoires.
«Vous êtes du Val-de-Travers?» C’est l’une des questions qu’ont posée de nombreux festivaliers à la proposition d’une Fée verte de boire une petite «bleue». Mais ce personnage est né dans un lieu imaginaire et est inspiré du Magicien d’Oz, comme le nom que porte le festival. En revanche, la personne qui se cache derrière un costume élaboré, arrive, elle, de Faoug. C’est Lisa Perregaux.
Depuis 2016 et la présentation dans les alcôves de créations artistiques inspirées du roman, la jeune femme endosse ce rôle et enfile la tenue qu’elle a créée de la coiffe aux chaussures, «sauf le serre taille», tient-elle à préciser. «J’entretiens le mythe de la fée en participant chaque année au festival. Mais, pour garder une part de mystère, on ne sait jamais quand et où je vais apparaître», explique Lisa à l’heure de la métamorphose. (...)

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Les forains, fidèles piliers du Tirage

Le rituel paraît immuable, peut-être aussi vieux que le Tirage lui-même. Le lundi précédant les festivités, un cortège de caravanes emplit la cour de l’école de la Promenade, tandis que manèges et autres attractions s’ouvrent comme d’immenses fleurs de métal sur la place des Tireurs à la cible. Couleurs chatoyantes et souvenirs d’enfance.
Les forains sont de retour. Et c’est peu dire que certains connaissent l’endroit. Liliane Tissot-Wetzel par exemple, 86 ans, vient au Tirage depuis plus de soixante ans. Attablée à l’ombre de sa caravane, entourée de sa famille, elle évoque quelques souvenirs, à la veille de la 282e édition du Tirage, qui s’ouvre demain, vendredi 17 août, et durera jusqu’au lundi 20 août. «Nous n’étions pas équipés de toilettes ni de douches et il fallait aller chercher l’eau avec un broc pour faire la lessive. Aujourd’hui, les jeunes ont tout, mais ils sont quand même fatigués», raconte l’octogénaire dans un sourire malicieux. (...)

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