Alain Schafer - 14.11.2018

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«Nous voulons des établissements médico-sociaux avec une âme»

L’Association des communes pour l’organisation médico-sociale du district de la Broye a proposé une séance publique, mardi 13 novembre, à la salle de la Prillaz, pour faire le point sur le développement des différents projets qui concernent les EMS broyards. Environ 150 personnes avaient fait le déplacement pour débattre avec les membres du comité, le préfet du district Nicolas Kilchoer et Sandra Lambelet Moulin, directrice des EMS de la Broye.

Au Moulin plutôt qu’à la Prillaz

L’information cruciale de la soirée a concerné l’EMS des Mouettes qui, comme prévu, quittera le bas de la ville d’Estavayer-le-Lac pour intégrer le site du Moulin dans le quartier de la gare. Le comité de l’association des communes et la commission de bâtisse ont en tout cas donné leur préavis sur cette option, dans l’attente de la décision définitive qui interviendra lors de l’assemblée de l’association le 28 novembre prochain.

On rappellera que pour succéder aux Mouettes, deux projets avaient été déposés, l’un dans le secteur de l’Habitat de la Prillaz et l’autre, plus au centre, vers le Sacré-Cœur, au lieu-dit Le Moulin. C’est cette solution qui a été retenue par le comité.

Nicolas Kilchoer a défendu ce projet: «Nous ne pouvions pas réhabiliter les Mouettes et prendre le risque d’investir beaucoup d’argent pour un bâtiment guère mieux que l’ancien et peu pratique. Nous aurions eu aussi 50 personnes âgées à reloger pendant les travaux. Il fallait réorienter le projet.»

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CO de Cugy à l’enquête

«Maintenant, nous sommes dans une phase cruciale de cet important projet régional», a lancé Bernard Grandgirard, président de la commission de bâtisse, en ouverture de la soirée d’information pour les élus broyards, dédiée à la future construction du 3e Cycle d’orientation de la Broye qui sera implanté à Cugy. L’assemblée s’est déroulée le mercredi 7 novembre, dans la salle polyvalente en plein travaux et qui accueillera l’aula du futur CO.

Les délégués ont eu droit à une présentation du projet final par l’architecte Noam Berchier. Ce dernier a fait le tour complet des trois bâtiments qui composeront le CO cugycois. La disposition est connue de longue date déjà, puisque l’étude de faisabilité remonte à 2015. Elle a été suivie par le concours d’architecture, dont le lauréat fut dévoilé en 2017. Mais depuis, le projet a évolué quelque peu et a surtout été peaufiné.

 

Le bâtiment sportif se veut simple, avec une salle double. Il comprendra le chauffage à distance pour tout le complexe et la salle communale voisine. Le bâtiment scolaire sera situé sur trois niveaux, dont un quasi enterré puisque le terrain est en pente. Il comprendra 21 salles de classe, orientées nord, deux salles de sciences et de nombreuses autres salles spécialisées plus l’administration. La dernière construction comprendra les activités parascolaires, avec des salles d’études, l’orientation professionnelle, le réfectoire, salle de musique et bibliothèque, entre autres.

Si tout était connu depuis des mois, les participants ont par contre vu de quoi sera fait l’aspect extérieur proposé par les architectes et la commission de bâtisse. La verticalité des éléments rappellera la salle polyvalente de Cugy et c’est du bois plutôt foncé qui recouvrira les façades.

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Un nouveau visage se dessine pour l’Hôtel du Lac

«C’est une chance pour la commune d’avoir été contactée par des personnes de la région, pour aller de l’avant avec la réhabilitation de l’Hôtel du Lac», a expliqué en conférence de presse, lundi, le syndic André Losey. A relever que le projet a été dévoilé le soir même lors du Conseil général.

Le projet hôtelier de la place Nova-Friburgo est un véritable serpent de mer pour les Staviacois. On se souvient du projet Othello, présenté et décrié, avec ses tours cylindriques. Pour rappel, le Conseil communal a dû se résoudre, durant l’été 2017, à résilier le droit de superficie qui le lie à la société Hôtel du Lac et Restaurant du Débarcadère SA, car l’hôtel n’est plus exploité depuis plusieurs années et est laissé à l’abandon. «Ce qui était contraire aux conditions du droit de superficie», a relevé le syndic. Une action judiciaire a été déposée pour demander la radiation de ce droit de superficie qui court jusqu’en 2058.

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Bry - 14.11.2018

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De l’œuf au poussin dans une nurserie à la pointe de la technologie

«La viande de volaille a actuellement une bonne dynamique sur le marché, il y a un gros trend. C’est une viande considérée comme saine. Elle est très appréciée», lance Philippe Messer, chef de la division volaille chez Micarna. «40% de la viande de volaille consommée aujourd’hui en suisse est importée, Micarna a à cœur de produire plus de viande indigène. Nous fournissons déjà 40% du marché suisse, mais nous souhaitons augmenter cette part.»

Pour répondre à la demande, l’entreprise a établi une vision stratégique à l’horizon 2050, afin de développer et moderniser ses installations dans laquelle s’inscrit directement le couvoir avenchois.

Ancien contre nouveau

Encore aujourd’hui Micarna exploite le couvoir de Granges-Marnand, mais le bâtiment qui date des années 60, est vétuste, et le site ne peut pas être agrandi. Pour cette raison, la société se met en quête d’un nouveau terrain. Le nouveau complexe, encore en travaux, budgété à 25 millions de francs, prendra progressivement la place de l’ancien à partir de janvier 2019.

«Les activités de Granges-Marnand seront progressivement transférées à Avenches, pendant un temps, les deux couvoirs travailleront en parallèle pour que les quatorze employés aient le temps de se familiariser avec les nouvelles installations», informe Anton Grub, responsable des projets stratégiques volaille.

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Un comptoir dans l’air du temps

«Les traditions ne sont pas un obstacle à la modernité. Le Comptoir de Payerne s’inscrit dans son temps», a plaidé Christelle Luisier Brodard, dans son discours inaugural de la 61e édition, le vendredi 2 novembre. La syndique a aussi évoqué les profondes remises en question de plus grandes foires commerciales comme le Comptoir Suisse de Lausanne où la Cantonale de Fribourg. «Ici, c’est le rendez-vous incontournable et même à l’heure de l’e-commerce. Il n’y a pas de recette miracle avec les ingrédients que sont l’authenticité, le respect des traditions. Le plus grand des petits comptoirs est en capillarité avec le terrain. Il est bon de pouvoir partager ici», a relevé Christelle Luisier Brodard.

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Une vague broyarde va déferler sur Malley 2.0

Si certains habitants de la capitale vaudoise ne savaient pas encore que la Broye existe, ils vont définitivement le savoir le vendredi 23 novembre à Malley 2.0, où 500 Broyards seront attendus pour assister au match de National League entre les deux équipes aux lions, le Lausanne Hockey Club et les Zurich Lions. «On espère vraiment se faire envahir par les Broyards ce soir-là», rigole Thierry Meyer, directeur de la communication du club vaudois depuis février. Un club qui souhaite accroître son capital sympathie dans la région. «Le LHC, c’est le club de tout un canton, avec des supporters qui viennent de toutes les régions dans un esprit festif et rassembleur. Et la Broye en fait bien sûr partie.»

Un vecteur de lien social

Aussitôt dit aussitôt fait, l’opération séduction a rapidement été mise sur pied, en collaboration avec le journal La Broye Hebdo et quelques partenaires locaux. Le concept: inviter 500 Broyards à venir partager un moment convivial et des émotions autour d’un bon match de hockey. «La Broye est un journal qui fédère toute une région, qui contribue au lien social, tout comme le LHC, c’était logique de s’y associer pour créer cet événement, souligne Thierry Meyer. En plus, le hockey est un formidable vecteur d’émotions et possède cette capacité à rassembler les gens. On le voit parmi nos abonnés qui sont issus de toutes les origines sociales. Ça va être un moment vraiment sympathique», se réjouit l’ancien rédacteur en chef de 24 heures, qui suit le LHC depuis son enfance.

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Bry - 07.11.2018

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