Promenade dans les vignes spécialement conçue pour les enfants

«Les enfants! Avec moi devant, les parents restent derrière.» Autant dire que les têtes blondes ne se font pas prier et foncent en tête de peloton, tout sourire. La joyeuse bande est menée par Christian Raemy, guide depuis plus de dix ans. Depuis qu’il est «en liberté» (ne lui parlez surtout pas de retraite), l’ancien instructeur militaire prend un malin plaisir à emmener des groupes en randonnée, pour découvrir la région qu’il connaît comme sa poche.

Pour les enfants

Ce mercredi, c’est une journée spécialement conçue et pensée pour les enfants. C’est la première fois que l’Office du tourisme de la région du Vully la propose. La balade commence sur le parking de Praz, de là, direction les vignes. «Quand on marche, il faut regarder, écouter et sentir», leur dit Christian. Il joint l’acte à la parole et attire vite l’attention de tout le monde sur un papillon qui vole devant la treille. Premier arrêt, première leçon. «C’est un papillon vulcain, un papillon migrateur.» Les enfants écoutent, captivés, le parcours de sa migration et comment il se reproduit.

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La valse des comptoirs

Alors que dans les grandes villes telles que Lausanne et Fribourg, les comptoirs se meurent, avec à peine 65 000 visiteurs pour chacune de ces deux foires qui ont autrefois attiré les foules, la Broye et le Vully, tirent leur épingle du jeu, avec leurs «petits» comptoirs. En tête de liste, on citera bien sûr le Comptoir broyard et son record de fréquentation l’an dernier, avec 91 700 entrées. Mais c’est une année «sans». Le grand raout cède sa place, année paire oblige, à une myriade de plus petites foires commerciales comme Lucens et Avenches-Vully qui débutent aujourd’hui, Payerne la semaine prochaine, puis Domdidier en décembre, pour clôturer l’année.

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Fermenta va poursuivre son activité

Le 12 octobre dernier, le conseil d’administration de Fermenta SA a pris la décision de poursuivre la transformation du tabac cultivé en Suisse dans ses locaux de Payerne.

La fermeture annoncée depuis quelques années maintenant de l’usine de la rue de la Boverie est remise, sans autre délai que sa viabilité, et, de ce côté, c’est plutôt encourageant. En effet, depuis trois ans et un changement à la direction de l’entreprise, Fermenta dégage des bénéfices qui ont convaincu ses actionnaires de poursuivre.

Evidemment, si cette nouvelle a de quoi ravir la vingtaine d’employés de l’usine, elle est aussi extrêmement importante pour la filière suisse du tabac. La transformation des récoltes pourra toujours être réalisée en Suisse et les soucis suscités par l’idée de transporter la récolte à l’étranger pour la ramener pour être intégrée aux produits des cigarettiers s’estompent, pour le moment au moins.

 

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Sur le papier, tout est encore possible pour Cédric Althaus

Un passage à la télévision régionale Canal 9, une réaction au micro de la RTS, puis une autre intervention sur une chaîne de radio locale. Cédric Althaus n’avait probablement jamais été aussi sollicité par les médias que vendredi dernier à Martigny où se tenait la conférence de presse du Rallye international du Valais, le rendez-vous incontournable du sport automobile en Suisse. Et pour cause, le Moudonnois est l’un des trois derniers pilotes à pouvoir encore prétendre au titre de champion suisse des rallyes. «C’est bien pour l’intérêt de l’épreuve que tout reste ouvert avant cette dernière étape du championnat, ça va mettre du piment à la course», se réjouit le pilote du Team ART, tout heureux de se trouver dans la position de pouvoir remporter le trophée.

Sujet complet à découvrir dans l'édition de la semaine

Bry - 17.10.2018

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Un projet de cabinet médical à Vully-les-Lacs

Le nom du projet «Global Med Salavaux (GMS)». Sous cette appellation, Blaise Clerc, syndic de Vully-les-Lacs, travaille, depuis plusieurs mois, avec d’autres acteurs du secteur, à la création d’un programme de soins pour la commune. «Il ne s’agit pas de construire un site, mais d’étendre le cabinet médical existant», précise le syndic. «Si la commune intervient dans ce dossier, c’est pour garantir une présence médicale et la pérenniser», ajoute-t-il. «Le docteur Jean-Marc Wandeler, généraliste à Salavaux, est à l’âge de la retraite et désire remettre son cabinet et sa patientèle», développe le syndic. Mais trouver un remplaçant n’est pas chose aisée et le docteur n’en avait toujours pas trouvé en 2017. «Aujourd’hui, les gens ne sont plus prêts à travailler à 150%», constate Blaise Clerc. Dans ces conditions, une seule personne ne semble ni suffisant, ni réaliste.

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Deux mordus de politique

On ne va pas remuer le couteau dans la plaie, la Broye n’a plus de conseiller d’Etat. Le dernier en date est Pascal Corminboeuf qui a quitté son siège en 2011. Les essais pour reconquérir un siège n’ont pas manqué, mais à chaque fois, la Broye s’est fait devancer. Malgré ces «injustices» qui font que la politique a ses raisons que la raison ignore, la Broye fribourgeoise compte tout de même onze députés qui ne se tournent pas les pouces. Ce que les Broyards savent moins, c’est que parmi cette équipe, deux députés sont présidents de groupes politiques. Et cette fonction a sans doute plus de poids qu’on ne le pense.

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Bry - 17.10.2018

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La concession du port attribuée à Estavayer

La décision est tombée et a été communiquée aux parties le 17 octobre. C’est la commune d’Estavayer qui se voit attribuer la concession d’exploitation du port de plaisance, ainsi que des terrains appartenant à l’Etat qui le bordent via un droit de superficie. A ce stade, il est important de rappeler que cette décision cantonale va être mise à l’enquête publique et qu’un recours est évidemment toujours possible.
Sans refaire tout l’historique qui a mené à cette décision, rappelons que la Société coopérative du port de plaisance (Socoop) exploite le port depuis 1969 et que la concession qui la liait à l’Etat est arrivée à échéance le 21 juillet dernier.
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