Chalet en feu à Cheyres

Jeudi 11 octobre, vers 16 h 45, un incendie a éclaté à Cheyres. Un chalet a été la proie des flammes.
17 sapeurs-pompiers du corps de Cheyres-Châbles, épaulés par 15 soldats du feu du Centre de renfort d’Estavayer-le-Lac  ont pu circonscrire le feu. Par mesure de sécurité, une veille de nuit a été organisée autour du chalet. Les propriétaires avaient pu se réfugier dans le chalet voisin, en bonne santé, avant d’être relogés par la commune.
Selon les premiers éléments de l’enquête, un défaut technique au niveau du réfrigérateur était à l’origine du sinistre. Le chalet a été complètement détruit par le feu, communique la police cantonale fribourgeoise.

(com. police FR - Photo Police cantonale FR)

Nouvel horaire de police aérienne testé

La disponibilité opérationnelle dans le service de police aérienne sera étendue graduellement jusqu’à la fin de l’année 2020. A partir de là, deux avions armés seront disponibles 24 h sur 24 et 365 jours par an. La prochaine étape, fixée au 1er janvier 2019, verra la disponibilité de 365 jours par année s’élargir à un horaire plus étendu de 6 h à 22 h, week-ends et jours fériés compris. En effet, ce sont les heures pendant lesquelles 90% du trafic aérien passe au-dessus de la Suisse. L’armée testera ce nouvel horaire du 15 au 19 octobre de cette année.
Le projet de service de police aérienne 24 (PA24) remonte à une motion présentée par l’ancien Conseiller aux Etats Hans Hess (PRD/OW) en 2009. Celui-ci avait, à l’époque, demandé d’étendre la disponibilité dans le service de police aérienne au-delà des heures de travail normales. Le projet PA24, qui comporte quatre étapes, permettra de garantir la disponibilité permanente de deux avions de combat armés prêts à décoller dans un délai de 15 minutes au maximum.
La première étape a été réalisée début 2016 : pendant 50 semaines, deux avions armés se sont tenus prêts à intervenir en semaine, de 8 h à 18 h. Depuis janvier 2017, la disponibilité a été étendue à 365 jours par année, donc aussi pendant les week-ends et les jours fériés. A partir de 2019, dans le cadre de la troisième étape, les jets seront prêts à intervenir entre 6 h et 22 h. Ce sont les heures pendant lesquelles 90% du trafic aérien passe au-dessus de la Suisse. Fin 2020, la quatrième et dernière étape, consistant à assurer une couverture 24 h sur 24, 365 jours par année, sera mise en oeuvre. Il faut toutefois préciser qu’une disponibilité de 24 h sur 24 pourra déjà être assurée pendant une période limitée avant fin 2020 en cas de besoin ou dans le cadre d’une mission.
Entre le 15 et le 19 octobre 2018, l’armée procédera à un test du fonctionnement des processus et des procédures d'engagement au cours de ces périodes de disponibilité élargie afin de déceler d’éventuelles complications et de pouvoir y remédier. Par conséquent, il est possible que pendant cette période, des engagements aient lieu en dehors des horaires réguliers du service de vol, éventuellement même au milieu de la nuit.
Les deux avions sont affectés principalement à des «Hot Missions» et à des «Live Missions». Dans le premier cas, il s’agit d’engagements déclenchés par la présence d’aéronefs qui violent la souveraineté de l’espace aérien de la Suisse ou qui commettent de graves infractions aux règles du trafic aérien. Les « Live Missions », quant à elles, sont des contrôles ponctuels d’avions officiels appartenant à des Etats étrangers qui, pour survoler la Suisse, ont besoin d’une autorisation de vol diplomatique (Diplomatic Clearance). A part ces engagements, les avions peuvent aussi être utilisés pour des missions d’entraînement.
Le site principal choisi pour le projet PA24 est la Base aérienne de Payerne. Pendant la durée de la fermeture de la piste, les avions décolleront depuis Emmen ou Meiringen. Avec PA24, il faudra s’attendre, à l’avenir, à des mouvements d’avions de combat, même à des vitesses supersoniques en cas de nécessité, en dehors des périodes de vols militaires habituelles. Il s’agit là de mesures nécessaires à la garantie de la sécurité du trafic aérien et à la protection de la souveraineté de l’espace aérien suisse 24 h sur 24.

(com. forces aériennes - Photo Rémy Gilliand)

Bry - 10.10.2018

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Bry - 10.10.2018

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Retour du cyclocross à la ferme à Ménières

Le FarmCX est probablement la seule course au monde où le vainqueur repart avec une chaise à traire sous le bras. Fort du succès généré par la première édition en 2016, Yves Corminboeuf n’a pas hésité à remettre le couvert ce samedi à Ménières. «D’autant plus que ce sera la dernière opportunité pour organiser une telle épreuve ici puisque je vais reprendre le domaine de mes parents et que la ferme sera rénovée», confie Yves. Le Broyard a repris les ingrédients qui avaient fait recette il y a deux ans. «Le parcours sera plus ou moins similaire, avec la traversée des hangars, du champ à tabac, de l’étable, du paddock, de la serre à sable et du tas de fumier (sans fumier on le précise). Ça s’annonce vraiment bien», se réjouit-il. (Photo: Samuel Jacquat)

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On planifie la médecine de famille pour le futur

Une pénurie de médecins généralistes est à nos portes. Le canton de Vaud a pris le taureau par les cornes et mis en place un programme d’incitation à la découverte des régions périphériques favorisant l’installation de nouveaux omnipraticiens. Le Nord vaudois a servi de zone test avec réussite.
Dès janvier prochain, la Broye disposera de son antenne. La présentation du programme ForOm, la semaine dernière à Salavaux, a retenu l’attention des praticiens installés en recherche de successeurs, comme des autorités communales soucieuses d’offrir un cadre de vie adéquat à leur population.Lire en Page 3Le jeudi 4 octobre, avant la présentation de l’antenne de la Broye de ForOm, les jeunes praticiens prêts à jouer le jeu étaient invités à découvrir la région
par un temps splendide et ils ont posé en compagnie de l’équipe de ForOm Nord vaudois et Broye. (...)

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Un référendum de sourds

L’ordre du jour du Conseil général de lundi dernier n’avait pas beaucoup de chair autour de l’os, mais c’était sans compter sur le feuilleton de la ferme Märki. En mai dernier, le même organe délibérant avait donné un blanc-seing au Conseil communal pour la réaffectation de cette ferme à Châbles. Depuis, on le sait, un référendum a été lancé par des citoyens et a abouti en vue d’une votation populaire prévue le 25 novembre. Autre épisode connu, un des référendaires, José Monney, ancien syndic de Cheyres, a déposé une dénonciation administrative auprès de la préfecture de la Broye. Lundi soir, le syndic Pierre-Yves Dietlin est revenu longuement et par le détail sur cet épineux feuilleton. Dans les grandes lignes, le syndic regrette le manque de dialogue des référendaires, avec le renvoi, notamment d’une séance, prévue ce mardi. «Nous devons nous mettre d’accord sur la place de leur texte, comme du nôtre dans le matériel de vote, sur le tout-ménage invitant la population aux séances d’information. Nous n’avons aucune nouvelle», a réagi le syndic. (...)

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Le voyage solidaire d’un baroudeur au grand cœur

«Quand j’étais à l’école primaire, je parlais déjà de faire le tour du monde et ce n’était pas une blague», assure Loïc Gacond. Le jeune homme de 25 ans, qui a grandi à Provence, dans le Nord vaudois, a débarqué dans la Broye il y a deux ans, pour travailler comme gardien d’animaux à la Fondation pour chiens guides d’aveugles à Brenles. «C’est le job dont je rêvais», en dit-il. Mais cet amoureux des grands espaces ne peut plus résister à l’appel du large: depuis plusieurs mois, il ficelle son projet, «le Baroudeur amateur». Et le 8 décembre prochain, Loïc Gacond partira de la ferme familiale pour un périple dont il ne connaît pas encore la date de retour. «Dans trois ou quatre ans, si tout va bien», estime-t-il. (...)

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C'est parti pour la Route du moût 2018

Le chef de cordée Daniel Jomini et les meneurs des trois attelages de la Route du moût 2018 ont quitté Payerne, ce vendredi matin à 8 h 30, avec un départ symbolique depuis la Cave communale de la reine Berthe. Ils vont rejoindre Aran/Vilette et le château de Montagny, vignoble payernois, en début de soirée. Demain matin, ils s'en iront les bossettes pleines de moût pour un retour plus festif, en compagnie de la Société de développement de Payerne qui tiendra plusieurs stands, avec les arrêts suivants:

  • 8 h 30: Epesses
  • 10 h: La Tuilière
  • 11 h: Forel-Lavaux
  • 12 h: Mézières
  • 12 h 30: Carrouge
  • 14 h 30: Moudon, place de l'Hôtel du Chemin de fer
  • 15 h 30: Lucens, place de la Couronne
  • 16 h 30: Villeneuve, Auberge Communale
  • 17 h: Granges-Marnand, place du Café du Pont
  • 18 h: Fétigny, place de l'Auberge Communale
  • 18 h 30: Arrivée à Payerne, place Général-Guisan

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