Rémy Gilliand et Pierre Köstinger - 13.03.2019

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Toutes les galeries
Alain Schafer - 06.03.2019

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Toutes les galeries

"Mon rêve? Me faire repérer"

Les balles jaunes fusent ce vendredi soir sur les courts du Centre AGY de Granges-Paccot où une dizaine de jeunes motivés multiplient échanges et exercices pratiques sous le regard attentif de leurs moniteurs. Parmi eux, un joueur détonne particulièrement avec sa patte de gaucher, une casquette au logo «RF» bien connu vissée sur la tête. A 16 ans, Bastian Dubey est l’un des meilleurs de sa volée en Suisse romande et reste sur une saison 2018 prometteuse. En septembre, le Diderain a même remporté le Masters Open à Marin de l’association Frijune, une compétition réservée à la relève des cantons de Fribourg, Neuchâtel et Jura, avant de gagner le tournoi interne de son club à Domdidier.

Sujet complet à découvrir dans l'édition de la semaine

Aimée Rapin, éternelle depuis 150 ans

«Qu’on ne parle surtout pas de mes bras. On doit juger mes toiles comme celles des autres», disait l’artiste peintre Aimée Rapin. Dotée d’un talent incroyable, malgré le fait d’être née sans bras, l’enfant de Payerne a laissé une trace incomparable, avec peut-être 3000 œuvres à son actif de par le monde, réalisées avec les pieds. Le 14 décembre dernier, quelques connaisseurs ont peut-être pensé à elle pour les 150 ans de sa naissance. Nous lui rendons ce petit hommage un mois après, pour ne pas oublier le talent qui fut le sien.
Sa nièce, Simone Rapin, lui a rendu un vibrant hommage dans un ouvrage paru en 1996, aux Editions du Musée de Payerne. Celle qui tendait le pied vers la toile, exigeait de toute sa jambe jusqu’à la hanche, l’obéissance et la souplesse d’un organe reposé. Elle s’en expliquait: «Pour manger, c’est mon pied gauche qui me sert; pour peindre, le pied droit… Mais pour marcher, c’est encore les deux mêmes pieds qui doivent me soutenir.» (...)

  • Suite et plus d'infos en images dans notre édition de ce jeudi 17 janvier 2019.

Epilogue heureux pour les Cherpillod

Le nouveau rural destiné en priorité au gros bétail est impressionnant. Une centaine de bovins y sont déjà installés, mais seule une trentaine de vaches laitières l’ont rejointe. «La salle de traite n’est pas terminée et pour le moment nous utilisons une traite mobile. Les bêtes y accèdent par une rampe et quand c’est gelé c’est terrible, elles glissent», explique Eddy, responsable du bétail laitier et de la traite. «Nous avons même licolé les vaches qui n’apprécient pas cette grimpette pour les aider».
Avec la mise en service du nouveau rural, le jeune agriculteur retrouve des conditions de travail presque normales. «Juste après l’incendie, et alors que le bétail laitier était disséminé dans plusieurs écuries libres, donc vieilles et inadaptées, j’ai trait à la main. Puis, à la boille et finalement j’avais à nouveau la traite directe», raconte Eddy. C’est lui le passionné de gros bétail et comme le reste de sa famille il n’imaginait pas poursuivre dans le métier sans couler du lait. (...)

  • Suite et plus d'infos dans notre édition de la semaine.

Le CO en pleine réalité augmentée

«Le parfum des pierres, dans l’herbe de l’été…» Le jeune Adam ne récite pas ce haïku en pleine nature, dans la quiétude d’un jardin japonais, mais devant un simple rideau de tissu vert, installé dans le hall du Cycle d’orientation de Domdidier. Ce lundi, l’élève de 9e HarmoS répétait avec ses camarades Emma et Gabriel, sous l’œil et l’oreille attentifs de Julie Trisconi, enseignante de français. Avec environ 150 élèves de l’école, ils animeront un arteplage dans le cadre du Festival des lumières. L’événement illumine la vieille ville et le Musée de Morat du mercredi 16 au dimanche 27 janvier. (...)

  • Suite et plus d'infos dans notre édition de ce jeudi 17 janvier.

Pour les ambulanciers, l’urgence, c’est la vie

Le Centre de secours du Nord vaudois et de la Broye nous a ouvert ses ambulances, le temps d’une dense journée entre urgences et transferts.
Les ambulanciers ne sont pas là pour se substituer au corps médical. Leur rôle consiste à intervenir, évaluer la situation et prendre des décisions
rapides qui orienteront le patient vers une prise en charge optimale. Une course contre la montre que nous avons suivie lors d’un reportage.
L’occasion aussi de faire un petit bilan de santé avec cette nouvelle structure subventionnée par le canton de Vaud et les communes de la Broye fribourgeoise. Désormais, elle doit faire face à la concurrence d’entreprises privées, du moins pour les transferts interhospitaliers.

  • Reportage illustré dans notre édition de la semaine.

Lift et lifting pour le Café du Marché

«On ne peut pas refaire le centre historique de notre ville sans proposer un établissement public digne des investissements consentis. Il en va de l’attractivité du centre-ville qui doit rester vivant», a lancé, lundi matin, la syndique Christelle Luisier Brodard, lors de la présentation du projet d’extension du Café du Marché. Comme convenu un ascenseur public reliant la rue de Lausanne à la place du Marché.
Ce café a été acquis en 2009 par la commune, pour le prix de 960 000 francs. Il a été rénové en 2014 pour une somme de 660 000 francs, afin de permettre l’accueil de l’Office du tourisme et l’exploitation du café par l’Association des amis de la maison de l’abbatiale. Le bâtiment comporte aussi deux appartements loués.
Lors des réflexions menées dans le cadre du développement du projet de valorisation du site, le Café du Marché, par sa situation et son cachet, est apparu comme une opportunité à la valorisation touristique du site. Le nouveau concept muséographique, ambitieux, estime une fréquentation de 30 000 à 40 000 visiteurs par an. Pour la Municipalité, il est apparu très rapidement que ce café, dans sa forme et son modèle d’exploitation actuels, ne constitue pas une offre d’accueil suffisante. «La paroisse de Pacore a fait un travail fantastique, mais ce n’est pas viable avec 24 places intérieures», a déclaré le municipal André Bersier. Le bail avec l’association tenancière, ainsi que la convention passée avec l’Eglise évangélique réformée du canton de Vaud, pour la mise à disposition d’un espace de rencontre, matérialisée par le Café du Marché, seront dénoncés. (...)

  • Suite et article complet dans notre édition de la semaine.

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