Pour sauver l’Opéra, Avenches doit s’engager

Soyons clairs, si la commune d’Avenches, en premier lieu, et le canton de Vaud, ensuite, n’apportent pas un soutien financier, direct ou indirect, d’ici fin mars, on arrête!» Il ne pouvait pas être plus précis, Jean-Pierre Kratzer, vice-président du conseil de fondation, hier face à la presse.

Des demandes précises
Le parlé vrai a d’ailleurs été de mise tout au long des explications, des succès, échecs et souhaits. C’est ainsi que sur le plan local, Avenches Opéra attend une garantie de déficit de 200 000 francs, que l’aménagement des arènes (gradins et infrastructures), pour toutes les manifestations qui s’y déroulent (Opéra, Rock’Oz et Tattoo), soit pris en charge par la commune (environ 200 000 francs) et finalement, la gratuité des services en général fournis par la commune. Du côté du canton, il faut obtenir le maintien de la subvention actuelle de 100 000 francs. C’est seulement fort de ces soutiens, qu’il sera possible de pérenniser un Avenches Opéra nouvelle formule. (...)

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Etudiants à la soupe, faute de cuisine

«Les élèves disent que ce n’est pas trop salé. Et bien entendu, on n’a pas accès aux salières. Donc pour les prochains services, est-ce que c’est possible de saler un peu plus?» Directeur du Gymnase intercantonal de la Broye (GYB) à Payerne, Thierry Maire portait le tablier, lundi et mardi à l’heure de midi. Passant des tables de service installées à la hâte à l’entrée de la cafétéria de l’établissement au chaudron de soupe mitonnée par le chef concierge Philippe Dougoud, le patron de l’établissement a tenu à offrir une solution de secours à ses quelque 1100 étudiants. En effet, la cuisine de la cantine est exceptionnellement fermée pour deux jours, suite à l’annonce surprise de la faillite de son exploitant, la société fribourgeoise Delectis, prononcée le 5 décembre dernier. (...)

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Il est toujours dans son élément

A le voir s’amuser sur la glace avec son fiston, Julien Staudenmann prend toujours autant de plaisir à évoluer sur cet élément qui l’a fait glisser vers la notoriété dans les patinoires de ligue nationale de 2003 à 2013. L’ancien attaquant du Lausanne HC a pris sa retraite entre-temps, mais pas question pour lui de quitter le monde du hockey sur glace. Les choses ont certes changé, mais pas tant que cela. L’homme porte toujours un maillot flanqué du fameux No 54, scandé par Malley entre 2006 et 2012, mais a troqué sa crosse contre un sifflet. Cette saison, il a arbitré ses premiers matches de LNA.

Retour attendu à Malley

Une patinoire de Malley que Julien Staudenmann va retrouver dans dix jours pour la rencontre Lausanne-Langnau. «Ça va être forcément spécial, en plus toute ma famille sera présente, mais je serai bien entouré par mes collègues qui vont m’aider à gérer parfaitement cette situation», souffle Julien, qui avait déjà eu l’occasion de siffler son club de cœur à Kloten. «Il faudra faire fi des émotions et se dire que je fais juste partie d’un spectacle, je suis même prêt à me faire siffler», rigole-t-il.

Sujet complet à découvrir dans l'édition de la semaine

Bry - 21.12.2016

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Faillite de Swiss Space Systems prononcée

Par décision du 14 décembre 2016, le président du Tribunal civil de l'arrondissement de la Broye et du Nord vaudois a révoqué l'ajournement et prononcé la mise en faillite de la société Swiss Space Systems Holding SA, communique le canton de Vaud.
A la suite de l'audience tenue le 6 décembre 2016, le président du Tribunal civil de l'arrondissement de la Broye et du Nord vaudois a rendu une décision le 14 décembre 2016 dans la cause concernant Swiss Space Systems Holding SA. Il a révoqué l'ajournement et prononcé la faillite sans poursuite préalable de cette société. Il a considéré que les conditions pour prolonger l'ajournement n'étaient plus remplies.
Swiss Space Systems Holding SA peut déposer un recours contre cette décision dans un délai de dix jours auprès de la Cour des poursuites et faillites du Tribunal cantonal.

  • Développement suivra dans notre prochaine édition.

Nouvelle directrice pour le tourisme régional

Actuel directeur d’Estavayer-le-Lac/Payerne Tourisme, Laurent Mollard a annoncé son départ pour le 31 mars prochain. Pour lui succéder, l’association touristique a nommé Myriam Dégallier. Originaire des Diablerets, âgée de 38 ans, mariée, elle est diplômée de l’Ecole suisse du tourisme de Sierre en tant que gestionnaire en tourisme. Myriam Dégallier a travaillé au sein de l’Office du tourisme des Diablerets comme directrice adjointe, de 2008 à 2011, puis a été conseillère municipale de la commune d’Ormont-Dessus, de 2011 à 2016. (...)

  • Suite et plus d'infos dans notre édition de ce jeudi 15 décembre.

Abbatiale debout sans ses béquilles

«C’est un moment important. On se réjouissait de pouvoir enlever cet étayage provisoire et cela a finalement duré plus de six ans.» Président de l’Association pour la sauvegarde de l’abbatiale de Payerne, Jean-Marc Barilier affichait un sourire de circonstance, mardi matin. Installés en avril 2010, après que le Conseil communal ait validé un préavis urgent face au risque d’éboulement de l’édifice, les étais de sa face nord ont pu être enlevés, mardi 13 décembre. (...)

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Défense aérienne et éoliennes ne sont pas compatibles

2017 rime avec «révolution» sur la base aérienne miliaire de Payerne. En effet, dès le 2 janvier, deux F/A-18 seront prêts à décoller en urgence 365 jours sur 365 de 8 h à 18 h. Les implications de cette nouvelle étape de la mise en œuvre d’une police aérienne complète, soit 24 heures sur 24 prévue au 1er janvier 2021, ont été présentées, vendredi dernier, lors d’une conférence de presse. Ce changement majeur pour l’occupation de la base aérienne a néanmoins été occulté par la présentation d’une étude de l’armée sur l’incompatibilité d’implanter des éoliennes de grande taille sur une importante partie du territoire entourant Payerne à cause d’interférences avec les radars primaires militaires.

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L'idylle avec le Tour de Romandie continue

Plus d’une chance sur deux, c’est la probabilité chaque année de voir la Broye accueillir le Tour de Romandie. Une statistique impressionnante qui tient depuis vingt ans. C’est vite vu, depuis 1997 et une arrivée à Estavayer, la région a croisé le destin de la Boucle romande à 13 reprises. Moudon (1999, 2003, 2007, 2010, 2016), Payerne (2001, 2006, 2013), Saint-Aubin (2001), Lucens (2003, 2007), Avenches (2005) et Estavayer (2009) ont reçu, tour à tour, l’arrivée ou le départ d’une étape.

Une formule très prisée

Payerne est le symbole de cette idylle de 20 ans entre le plus grand événement médiatique de Suisse romande et cette petite mais dynamique région. Cinquante-deux ans avaient séparé la première étape organisée à Payerne, en 1949, de la seconde. Depuis, la Cité de la reine Berthe a reçu à trois reprises le Tour, à chaque fois pour des étapes en boucle (2001, 2006 et 2013). Et l’histoire d’amour n’est pas près de se briser, puisque Payerne bénéficiera à nouveau de cette formule très prisée par les spectateurs.

Ce sera le 28 avril prochain, à l’occasion de la 71e édition dont les contours ont été dévoilés vendredi dernier, lors d’une conférence de presse tenue au Beaulieu à Payerne.

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