Apprendre les effets des médicaments ou à ajuster sa médication dans 
la réserve posée par le médecin, c’est un objectif.Photo rémy gilliand/ archives

Mieux vivre avec une maladie chronique

Il ne s'agit pas de les transformer en mini-infirmières, mais de leur faire acquérir des outils et prendre conscience qu'ils ont tous un potentiel pour mieux vivre au quotidien...

Voies CFF fermées, tous les pendulaires seront «servis»!

Les CFF ont présenté la semaine dernière les grands travaux prévus en 2019 sur le réseau romand, et les Broyards n’ont pas été oubliés… C’est le moins que l’on puisse dire, avec pas moins de 21 semaines d’interruption au cumul. C’est un mal nécessaire pour exécuter certains travaux de remplacement de voie, comme entre Estavayer et Yvonand ou encore déplacer la gare de Givisiez, entre Payerne et Fribourg. Mais c’est surtout impératif pour la ligne de la Broye reliant Lausanne à Payerne. Elle sera fermée durant 16 semaines, afin d’assainir plusieurs ouvrages d’art et d’assurer grâce à cette cure de jouvence une fiabilité très très attendue. Evidemment, des moyens de transport alternatifs sont prévus dans tous les cas. (...)

  • Suite et plus d'infos dans notre édition de la semaine.

Le carnaval bleu dans un ciel azur

Remettre les clés de la ville «au fils du syndic de la Basse», celui qui empêche les honnêtes citoyens de dormir presque toutes les autres nuits de l’année, était-ce bien raisonnable? C’est pourtant ce qui s’est passé vendredi soir à Estavayer-le-Lac, lors de la traditionnelle cérémonie d’ouverture du Carnaval de la Cité à la Rose. Comme de coutume, les autorités staviacoises ont été capturées et mises en cage, tandis que le nouveau comte Dominique Fasel et sa nouvelle comtesse Joëlle Ménétrey prenaient le pouvoir le temps d’un week-end, après une courte bataille pour récupérer la clé de la ville. (...)

  • Suite et plus d'infos dans notre édition de la semaine. A voir aussi notre galerie photos.

Brandons parés de vert et de blanc

Les couleurs verte et blanche ne sont que prétexte, mais elles sont pourtant bien vaudoises, «même si le canton ne nous fait pas de cadeau», plaisante «Lolo» Loris Cornamusaz, responsable de la communication des Brandons, lors du point presse de lundi. Allusion faite à la facture de la sécurité (voir La Broye du 21 février). Comme la recette du papet vaudois, celle des Brandons ne change pas, on l’améliore et c’est rassurant.

Ils débuteront gentiment en milieu de semaine prochaine, avec les émissions de Radio Brandons sur 90.5 et sans doute en ville une farce sarcastique entre mercredi et jeudi. Ce même soir, on retrouvera le traditionnel loto des écoles, qui sert à alimenter le fonds Carnamômes. (...)

  • Suite et plus d'infos dans notre édition de la semaine.

Le conte de sa vie, c’est le Vully

«C’est le moment de l’année où le soleil revient. On se réjouit de voir pousser les premières perce-neige. On a envie de sortir.» La conteuse Caroline Zanolari aime gravir le Mont-Vully, depuis la plaine de Sugiez où elle habite avec son mari et ses trois enfants âgés de 14, 12 et 10 ans. On la rencontre un matin de février, près de l’ancien réduit militaire, en lisière d’un bois au-dessus de Lugnorre. Née Johner à Nant, où elle a grandi, cette Vulliéraine de 42 ans connaît la bosse du Vully comme sa poche. C’était son terrain de jeu. «J’ai toujours aimé bouger, être dehors», dit-elle. (...)

  • Suite dans notre édition du jeudi 21 février 2019.

Folie médiatique pour «Shotty»

On l’a trouvée plutôt à l’aise Fanny Chollet, au micro, tant en français qu’en allemand, devant une noria de journalistes, mais elle l’avoue tout de suite: «Je serais mieux avec mes camarades dans le ciel.»
La première femme pilote d’avion de combat F/A-18 des Forces aériennes suisses a dû résister à la pression médiatique une année durant, depuis son premier vol sur jet en mars 2018. Face à un tel intérêt, les Forces aériennes ont décidé d’une présentation unique aux journalistes et sans privilèges aucun. Elle s’est déroulée mardi, sur le tarmac de la base. (...)

  • Suite et plus d'infos dans notre édition de la semaine.

Le Carnaval d’Estavayer-le-Lac ouvre les feux de la saison des fêtes païennes ce week-end. Les Brandons de Payerne suivront quinze jours après, du 8 au 11 mars, les Brandons de Moudon du 21 au 24 mars, puis le Carnaval avenchois du 29 au 31 mars. Et le printemps pourra s’installer

Départ donné pour la saison des carnavals

La saison des carnavals est lancée, avec Estavayer-le-Lac dès ce vendredi. Des festivités qui se veulent joyeuses, afin de marquer la fin de l’hiver. Mais du côté vaudois les organisateurs l’ont un peu saumâtre à réception des devis concernant la sécurité qui plombent les confettis. Les faits ne sont pas nouveaux, ils découlent d’une loi votée en 2013 par le Grand Conseil. Mais au fil des ans, des questions se posent sur ce partage du gâteau sécuritaire qui irrite les organisateurs bénévoles des carnavals vaudois. Ces derniers pourraient bien descendre à Lausanne croiser le fer avec le Conseil d’Etat.

Le Carnaval d’Estavayer-le-Lac ouvre les feux de la saison des fêtes païennes ce week-end. Les Brandons de Payerne suivront quinze jours après, du 8 au 11 mars, les Brandons de Moudon du 21 au 24 mars, puis le Carnaval avenchois du 29 au 31 mars. Et le printemps pourra s’installer.

  • Toutes les infos et réactions dans notre édition de ce jeudi 21 février 2019.

On se prend les pieds dans le tapis du Café du Marché

«Malgré certains avis défavorables, nous n’allons pas retirer ce préavis et nous en débattrons ce soir», avisait le municipal André Bersier, mercredi matin à 8 h. La matinée portant conseil, à 12 h 30 ce même mercredi, le même municipal informait la rédaction qu'au final la Municipalité allait certainement retirer ce point de l'ordre du jour. Mais malheureusement, notre délai de bouclage était dépassé et le journal déjà sous presse.

On rappellera que la Municipalité demande un crédit de 2,6 millions de francs pour une mise aux normes de l’établissement qui pourrait compter 60 places, une grande véranda et un ascenseur en façade pour relier la place du Marché à la place Paray-le-Monial. La semaine dernière, la Municipalité a envoyé le dossier complet aux élus et à la presse. Le paquet compte un rapport majoritaire de la commission des finances, ainsi qu’un rapport minoritaire. Quant à la commission chargée de l’étude du préavis, elle émet un avis largement négatif (4 voix contre et deux membres ayant un avis mitigé).

Selon nos informations, la Municipalité craint un référendum du PSIP en cas de vote positif de l'organe délibérant. "Nous souhaitons prendre le temps d'une plus large consultation, mais nous n'abandonnons pas ce projet", réagit la syndique Christelle Luisier Brodard.

Le Marché, c’est un peu le cadeau empoisonné de cette législature. Acheté en 2009, pour moins d’un million et rénové en 2014 pour 660 000 francs. «Nous n’avons pas tellement d’autres solutions pour valoriser ce bâtiment. Il est à nous et c’est une nette plus-value pour le futur centre historique», plaidait mardi matin André Bersier. Affaire à suivre... (rg)

Une jeune pianiste au talent fou

Elle n’a pas encore 12 ans, «11 ans et demi» précise-t-elle, mais déjà un talent plus que certain pour le piano. Les cheveux longs, vêtue d’une robe rouge qu’elle a mise spécialement pour la photo, Emma Saskia Bähler s’assied devant les touches du piano qui trône dans le salon de sa maison à Avenches, où elle vit avec sa mère, Sybille. «Bon, j’essaie», dit-elle avant d’attaquer une pièce de Debussy, Poissons d’or, qu’elle n’a plus joué depuis qu’elle l’a présenté en septembre dernier lors d’un concert à Bienne. Elle joue sans partition. Les notes sonnent rapides et légères, comme si la musique lui sortait des doigts. (...)

  • Suite dans notre édition de la semaine.

L’obligation de servir, c’est par ici

A l’heure des centralisations, il est plutôt rare de voir naître des implantations de services cantonaux ou fédéraux hors des zones urbaines. Ainsi, après seize années du côté de la Pontaise à Lausanne, le Centre de recrutement pour les conscrits romands prend racine à Payerne, à l’emplacement de l’ancienne caserne DCA, à la route de Grandcour.
«De 2003 à 2018, 150 000 conscrits romands sont passés par Lausanne, pour deux journées de recrutement. La barre des 10 000 par année a été atteinte il y a quelques années et Lausanne ne correspondait plus aux attentes. En 2010, le projet de déménagement a été lancé et le choix s’est porté sur Payerne en 2012», a expliqué le colonel EMG Alexandre Beau, commandant du Centre de recrutement 1, vendredi dernier, lors de l’inauguration. (...)

  • Suite et plus de détails dans notre édition de la semaine.

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