On cherche des tuyaux pour la relève

En 2017, le SDIS Broye-Vully avait fait sauter toutes les statistiques. Et le commandant Pierre-Yves Jost qualifiait les 365 jours écoulés d’exceptionnels et compliqués. Les années se suivent et se ressemblent, en tout cas pour la lourdeur des activités. Devant un parterre bondé, au Gymnase intercantonal à Payerne, le mercredi 23 janvier, le major a en effet relevé une nouvelle année record en nombre d’interventions pour les sapeurs de la Broye et du Vully, avec 319 interventions, contre 274 en 2017, c’est 45 missions de plus (+16%). Les événements ont été un peu moins «tragiques», on se souvient de la série d’incendies dramatiques de l’année précédente. En 2018, les feux ne représentent «que» 43 cas (-18). Ce sont les éléments naturels qui ont mobilisé le plus les troupes, avec 67 interventions (+34) et on se souvient de la tempête Eleanor le 3 janvier, ainsi que des orages localisés en juillet, sur Payerne. Côté interventions pionniers (désincarcérations), c’est la stabilité (9), tout comme les feux de véhicules ou les alarmes automatiques. Les pollutions, notamment aux hydrocarbures, ont pris l’ascenseur avec 82 alarmes (+25). Cela représente quelque 5280 heures d’intervention (-961). (...)

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Faougeois invités à la table de l’aménagement

Atelier participatif A l’heure où la révision du plan général d’affectation (PGA) tient du véritable casse-tête pour certaines communes, celle de Faoug, actuellement mise en zone réservée, a opté pour une approche inédite en Suisse romande: les ateliers village que propose l’association Espace Suisse. Ces structures participatives permettent à la population, durant une matinée, de s’exprimer sur les stratégies de développement possibles pour la commune. A Faoug, où la zone à bâtir est aujourd’hui surdimensionnée, les habitants pourront ainsi se retrouver pour échanger et débattre le samedi 16 mars prochain. (...)

  • Suite et plus d'infos dans notre édition de la semaine.

Première ligne de bus inaugurée à Payerne

Depuis le 10 décembre dernier, Payerne bénéficie de sa première ligne de bus urbain. Elle sillonne une partie de la ville depuis le quartier des Rives de la Broye (route de Fétigny), jusqu'à l'Hôpital intercantonal de la Broye et ceci à la cadence de la demi-heure, avec plusieurs arrêts au centre-ville.

Le chemin fut long jusqu'à cet aboutissement de cette ligne de bus imposée par le canton en raison de la densification de la ville qui compte désormais 10'000 habitants et de son développement urbain, avec de nouveaux quartiers d'habitation.

  • Plus d'infos sur cette inauguration et premier bilan dans notre édition de la semaine prochaine.

La réalité virtuelle pour doper la rééducation

«Wouaw, c’est bluffant!» casque sur la tête, la journaliste que je suis a droit à une démonstration de KineQuantum. Me voici en train de voler. Je bats des ailes… des bras et le programme de réalité virtuelle m’incite à utiliser mes deux bras sans retenue. A mes côtés, le chef du service de physiothérapie de l’Hôpital intercantonal de la Broye, Bastien Belmondo, corrige ma posture et l’emploi de mes… ailes, afin d’optimiser l’utilisation de mes épaules. Grâce à deux capteurs, la machine enregistre tous mes mouvements déterminant leur amplitude. Des données factuelles qui devraient permettre de suivre mes progrès si j’étais en phase de rééducation après une blessure à l’épaule. (...)

  • Suite et plus d'infos dans notre édition de la semaine.

Une saga commerciale de 120 ans

L’histoire du commerce local payernois est indissociable de la famille Bladt. Alors que d’autres enseignes ont disparu, Manor Payerne va célébrer cette année ses 120 ans de présence à la Grand-Rue. Bien entendu, les raisons sociales ont changé à plusieurs reprises, passant du Louvre aux Galeries vaudoises, puis à la Placette. Mais les générations des Bladt ont tenu le cap. Bertrand Bladt, administrateur, propriétaire, est le dernier des Mohicans, tous ses aïeux n’étant plus là.

  • Interview dans notre édition de la semaine. En parallèle, dans la cité voisin d'Estavayer-le-Lac, les commerçants du centre-ville s'inquiètent de la disparition de petits commerces.

Des diamants taillés pour gagner

Les Black Diamond’s enchaînent les succès aussi audacieusement que les mouvements de leurs chorégraphies hip-hop. L’envolée de ce quintuple champion du Hip-Hop International Switzerland se prolonge avec celle de l’école du même nom, créée en 2014 à Avenches. Les locaux aménagés à l’étage d’une entreprise dans la zone industrielle, ne désemplissent pas. A raison de 4 à 5 cours par jour en semaine, de 16 h à 22 h, sans compter les week-ends, ce sont aujourd’hui 130 élèves qui viennent s’entraîner.
«J’ai des listes d’attente», explique le fondateur et professeur de l’école, Dany da Silva, 28 ans. Heureux de ce succès, il s’avoue parfois désolé de devoir répondre par la négative à des adultes et des jeunes désirant se mettre à cette forme de danse particulièrement exigeante. Raison pour laquelle il souhaiterait trouver une structure plus adaptée. Pour bien s’entraîner, il faut entre autres une paroi en miroir, une bonne sono et surtout, une certaine hauteur de plafond pour l’exercice de mouvements parfois acrobatiques. (...)

  • Suite et plus d'infos dans notre édition du jeudi 24 janvier 2019.

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