Week-end à la gloire du ballon rond

Les festivités du 70e anniversaire du FC Fétigny/Ménières ont débuté en avril dernier déjà, avec une… chasse aux œufs, une finale cantonale de la Credit Suisse Cup, un repas de soutien en mai. La semaine dernière, il y a encore eu la finale cantonale des juniors E. Bref, le président du comité d’organisation Philippe Arrighi et son équipe n’ont pas fait les choses à moitié en proposant encore, ce prochain week-end, un tournoi des familles, samedi et dimanche, et un match d’exhibition, entre autres festivités. Mais le point d’orgue de ce 70e sera sans aucun doute le match de gala FC Amicus Broye, composé de personnalités du sport et de la politique, entre autres, qui affrontera les anciennes gloires du FC Fétigny-Ménières. C’est bien de gloire que l’on parle ici. A une époque où le président Philippe Arrighi passait sous les barrières du terrain de foot sans se baisser pour voir l’équipe fanion évoluer en 1re ligue. (...)

A Cheyres aussi...

Au bord du lac, le foot est aussi à la fête, avec les 50 ans de l’Union sportive Cheyres-Châbles, célébrée ce week-end, avec un menu copieux au niveau des animations. «L’Union sportive Cheyres-Châbles a été fondée en 1967, bien avant la fusion de nos deux communes», s’enthousiasme le président du comité d’organisation, Bernard Pochon. «Un club typiquement local, avec André Rapo comme premier président, Charles Pillonel à la caisse, Jean-Claude Pillonel, au secrétariat, c’était le papa du président actuel Pierre-Alain Pillonel et Henri Rapo. On peut aussi relever que ce sont presque les mêmes qui ont créé le chœur mixte La Pastourelle en 1967 aussi», rappelle Bernard Pochon. (...)

  • Suite et programmes complets dans notre édition de la semaine.

L'envie d'aller voir plus haut était trop forte

Certes, la promotion historique de Portalban/Gletterens acquise samedi dernier fait causer au bord des terrains et dans les bistrots. Est-ce bien raisonnable pour deux villages de 1000 habitants chacun d’avoir une équipe évoluant en 1re ligue aux côtés des deux pôles Fribourg et Guin? Pourtant, en se tenant à son seuil, les Pêcheurs ne pouvaient pas ne pas essayer d’aller voir à l’intérieur de cette catégorie supérieure. Ils ont allégrement enfoncé cette porte entre-ouverte en remportant la finale du groupe face à un Bulle obligé de gagner, dans un stade des Grèves garni de 1500 spectateurs.

Sujet complet à découvrir dans l'édition de la semaine

Guillaume voit la vie en roses

La semaine dernière, il valait mieux ne pas demander à Guillaume Gomonet comment il allait. Jeudi matin, après le passage de l’orage de la veille, l’horticulteur staviacois n’avait pas la mine des grands jours en voyant l’état des massifs de la Roseraie Thérèse Meyer, au bord du lac. Mais après quelques minutes et deux ou trois questions sur sa fleur fétiche et Guillaume retrouvait la joie de vivre.

L’horticulteur paysagiste est membre du comité d’organisation du Festival des roses depuis sa création. Ce spécialiste est aussi devenu l’un des dix «Monsieur Jardinier», de la RTS La Première. «C’est un peu par hasard, en 2013, lors du festival, la responsable de l’émission voulait que je vienne parler en direct. Je ne savais pas trop quoi leur dire, sourit-il. Après le festival, elle m’a rappelé pour dire que ma voix passait bien à l’antenne et qu’elle souhaitait que je participe régulièrement à l’émission. Je n’étais pas trop emballé. J’ai réfléchi et j’ai fini par dire oui.» 

Rencontre et programme du festival à lire dans notre édition de ce jeudi.

Un projet immobilier conséquent arrêté par la présence de vestiges historiques

Le projet immobilier à côté du Milavy s’annonce ambitieux. Selon la mise à l’enquête déposée en 2013, il devrait accueillir trois immeubles d’habitation et deux bâtiments de service comprenant un hôtel, une banque, des commerces et un office postal. Le projet n’avait rencontré aucune opposition et le permis de construire a été délivré en 2015. L’an dernier La Poste avait d’ailleurs communiqué son déménagement pour 2018.

C’était sans compter sur les spécificités de l’ancienne capitale de l’Helvétie romaine et ses nombreux trésors archéologiques encore cachés. Comme c’est souvent le cas lors de grands projets sur une parcelle proche d’un site archéologique, une campagne de sondages exploratoires a été ajoutée au permis de construire par l’archéologie cantonale. Réalisée à l’automne dernier, elle a révélé la présence de nombreux vestiges intéressants sur la parcelle de 9000 m2. Depuis, rien n’a bougé et les travaux n’ont toujours pas débuté.

 

Développement à lire dans notre édition de ce jeudi.

Arbre à palabres lancé sur l’avenir des rives du lac

Quand on demande aux Staviacois de parler de leur lac, ils mordent à l’hameçon aussitôt. Lundi soir, le Groupe indépendant a organisé son premier «Café communal», avec la thématique: «Rives du lac, quel avenir?» Au bar à vin Le Rempart, une bonne vingtaine de personnes a répondu à l’invitation et pas seulement des membres du groupe. Le décor a été planté par Dominique Gutknecht, avec un historique rapide, mais intéressant de la rive sud, du côté d’Estavayer.
Et l’axe principal de la soirée a été la problématique de la circulation aux abords de la Nouvelle Plage, avec un seul accès au lac depuis la ville. «Notre commune s’agrandit sans cesse, mais on va mettre où tous ces gens qui viennent au lac. Vous auriez dû voir dimanche, c’était totalement saturé», s’inquiète un Staviacois. (...)

  • Article complet dans notre édition de la semaine, du jeudi 15 juin 2017

Plusieurs offices postaux dans le flou

Le couperet est tombé la semaine dernière. Pas moins de 49 bureaux postaux du canton de Vaud sont amenés à disparaître d’ici à 2020. Parmi cette longue liste, les offices de Salavaux, Cudrefin et Corcelles-Payerne sont directement concernés. Et si le géant jaune ne parle pas directement de «suppression», il les considère comme des «filiales à examiner» et exclut de poursuivre leur exploitation sous leur forme traditionnelle. Informées par courrier, les autorités attendent plus de précisions avant d’envisager un recours auprès de Postcom.

La problématique est la même dans les trois villages. Le géant jaune souhaiterait remplacer l’office traditionnel par une agence postale, qui peut se situer dans un magasin privé. Néanmoins, aucun commerçant ne s’est montré intéressé à cette solution.

Développement et réactions à découvrir dans notre édition de ce jeudi.

La forêt à la fête pour quinze jours

«Vers l’étang, j’ai appris plein de choses sur le castor que je ne connaissais pas.» Après avoir emprunté une partie du parcours didactique sur la nature, installé par les forestiers de la Broye vaudoise et fribourgeoise dans le cadre de la Quinzaine forestière, dans le bois de Boulex à Payerne, Maxime s’apprête à ouvrir son pique-nique. Avec ses camarades d’une classe de 5e HarmoS du collège Derrière-la-Tour à Payerne, l’écolier a pu découvrir tous les mystères de la forêt.

A lire dans notre édition de ce jeudi

Impulsions pour sauver les festivals

«Avenches, sa population, ses arènes et ses festivals. Quatre éléments d’un carré qui n’arrivent pas à former un cercle harmonieux.» En ouverture des premières assises des festivals, vendredi dernier, la syndique Roxanne Meyer Keller a énoncé clairement la problématique. Dans l’assemblée, des représentants de chaque manifestation, de sociétés locales, des conseillers communaux, des riverains ou encore des archéologues et des représentants du canton.

Tous étaient réunis pour jouer cartes sur table et dégager des solutions pour l’avenir de la ville et de ses festivals estivaux.

Comment accueillir les festivaliers ? Quelle identité commune ? Comment impliquer les sociétés locales? Comment protéger le patrimoine archéologique que représentent les arènes?

 Tour d’horizon des quatre ateliers qui ont rythmé la matinée et réactions dans notre édition de ce jeudi.

Toutes voiles dehors pour la concession du port

«Devenir une simple société d’exploitation ne nous intéresse pas!» Le message martelé par le président de la Société coopérative du port (Socoop) est clair. Pour Laurent Jaunin, c’est le statu quo qui prime. Sa société qui gère le port depuis sa construction, voici quarante-six ans, revendique la concession remise en jeu par le Conseil d’Etat, l’année prochaine.

Samedi dernier, la Socoop et le Cercle de la voile ont lancé leur campagne appelée «Lac pour tous». Une opération qui vise à encourager le Conseil d’Etat à voter pour un maintien de la concession du port à la Socoop. C’est en effet une particularité sur le lac de Neuchâtel, le port d’Estavayer n’est pas géré par la commune, mais par une coopérative indépendante.

Le Conseil d’Etat tranchera en 2018 entre les souhaits de la Socoop, mais aussi les ambitions de la commune d’Estavayer-le-Lac, deux candidats en lice pour cette concession.

Développement à lire dans notre édition de ce jeudi.

Adolescente blessée à Delley

Jeudi 1er juin, vers 19 h 30, une adolescente de 17 ans circulait au guidon de son vélomoteur de Chabrey en direction de Portalban.
A Delley, à une intersection entre deux chemins de remaniement, elle n’a pas accordé la priorité à un véhicule arrivant depuis sa droite, conduit par un homme de 63 ans, qui circulant en direction d’Avenches. La cyclomotoriste, ainsi que son deux-roues, ont violemment heurté l’avant de la voiture et ont été projeté près douze mètres plus loin, dans un champ. Légèrement blessée, l’adolescente a été acheminée à l’hôpital par une ambulance.

(com. police FR/photo police cantonale FR/rg)

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