Le Carnaval d’Estavayer-le-Lac ouvre les feux de la saison des fêtes païennes ce week-end. Les Brandons de Payerne suivront quinze jours après, du 8 au 11 mars, les Brandons de Moudon du 21 au 24 mars, puis le Carnaval avenchois du 29 au 31 mars. Et le printemps pourra s’installer

Départ donné pour la saison des carnavals

La saison des carnavals est lancée, avec Estavayer-le-Lac dès ce vendredi. Des festivités qui se veulent joyeuses, afin de marquer la fin de l’hiver. Mais du côté vaudois les organisateurs l’ont un peu saumâtre à réception des devis concernant la sécurité qui plombent les confettis. Les faits ne sont pas nouveaux, ils découlent d’une loi votée en 2013 par le Grand Conseil. Mais au fil des ans, des questions se posent sur ce partage du gâteau sécuritaire qui irrite les organisateurs bénévoles des carnavals vaudois. Ces derniers pourraient bien descendre à Lausanne croiser le fer avec le Conseil d’Etat.

Le Carnaval d’Estavayer-le-Lac ouvre les feux de la saison des fêtes païennes ce week-end. Les Brandons de Payerne suivront quinze jours après, du 8 au 11 mars, les Brandons de Moudon du 21 au 24 mars, puis le Carnaval avenchois du 29 au 31 mars. Et le printemps pourra s’installer.

  • Toutes les infos et réactions dans notre édition de ce jeudi 21 février 2019.

Festival d'émotions pour Anaïs Coraducci

Disputer un concours sous pression ne semble pas déstabiliser Anaïs Coraducci qui participait à une compétition d’envergure internationale la semaine dernière à Sarajevo, hôte du Festival olympique de la jeunesse européenne (EYOF). Certes, la Cheyroise de 15 ans n’y a pas battu son record de points établi fin octobre au Grand Prix de Zagreb (159,19 points). Mais le contexte n’était évidemment pas le même. «Il y avait beaucoup plus de pression cette fois, avec du monde dans les tribunes pour regarder. C’était assez intimidant et plus stressant que d’habitude, mais j’ai bien réussi à gérer cette situation», se réjouit Anaïs, déjà de retour sur la glace en début de semaine à Turin pour s’entraîner après un passage éclair à la maison en Suisse.

Sujet complet à découvrir dans l'édition de la semaine

On se prend les pieds dans le tapis du Café du Marché

«Malgré certains avis défavorables, nous n’allons pas retirer ce préavis et nous en débattrons ce soir», avisait le municipal André Bersier, mercredi matin à 8 h. La matinée portant conseil, à 12 h 30 ce même mercredi, le même municipal informait la rédaction qu'au final la Municipalité allait certainement retirer ce point de l'ordre du jour. Mais malheureusement, notre délai de bouclage était dépassé et le journal déjà sous presse.

On rappellera que la Municipalité demande un crédit de 2,6 millions de francs pour une mise aux normes de l’établissement qui pourrait compter 60 places, une grande véranda et un ascenseur en façade pour relier la place du Marché à la place Paray-le-Monial. La semaine dernière, la Municipalité a envoyé le dossier complet aux élus et à la presse. Le paquet compte un rapport majoritaire de la commission des finances, ainsi qu’un rapport minoritaire. Quant à la commission chargée de l’étude du préavis, elle émet un avis largement négatif (4 voix contre et deux membres ayant un avis mitigé).

Selon nos informations, la Municipalité craint un référendum du PSIP en cas de vote positif de l'organe délibérant. "Nous souhaitons prendre le temps d'une plus large consultation, mais nous n'abandonnons pas ce projet", réagit la syndique Christelle Luisier Brodard.

Le Marché, c’est un peu le cadeau empoisonné de cette législature. Acheté en 2009, pour moins d’un million et rénové en 2014 pour 660 000 francs. «Nous n’avons pas tellement d’autres solutions pour valoriser ce bâtiment. Il est à nous et c’est une nette plus-value pour le futur centre historique», plaidait mardi matin André Bersier. Affaire à suivre... (rg)

Alain Schafer - 14.02.2019

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Toutes les galeries

La guerre continue autour du port d’Estavayer-le-Lac

Elle n’est pas prête à lâcher son port. La Société coopérative du port de plaisance d’Estavayer-le-Lac (Socoop) a détaillé mardi en conférence de presse les trois voies judiciaires qu’elle a saisies contre la décision de l’Etat de Fribourg d’attribuer la concession à la commune d’Estavayer. Elle a notamment déposé un recours au Tribunal cantonal contre la décision des autorités cantonales qu’elle estime injuste et arbitraire et se dit prête à monter jusqu’au Tribunal fédéral. La Socoop démonte les arguments du canton et le dossier de la commune. Qui, elle, parle de critiques gratuites. (...)

  • Plus d'infos dans notre édition ce de jeudi 14 février 2019.

L’obligation de servir, c’est par ici

A l’heure des centralisations, il est plutôt rare de voir naître des implantations de services cantonaux ou fédéraux hors des zones urbaines. Ainsi, après seize années du côté de la Pontaise à Lausanne, le Centre de recrutement pour les conscrits romands prend racine à Payerne, à l’emplacement de l’ancienne caserne DCA, à la route de Grandcour.
«De 2003 à 2018, 150 000 conscrits romands sont passés par Lausanne, pour deux journées de recrutement. La barre des 10 000 par année a été atteinte il y a quelques années et Lausanne ne correspondait plus aux attentes. En 2010, le projet de déménagement a été lancé et le choix s’est porté sur Payerne en 2012», a expliqué le colonel EMG Alexandre Beau, commandant du Centre de recrutement 1, vendredi dernier, lors de l’inauguration. (...)

  • Suite et plus de détails dans notre édition de la semaine.

Une jeune pianiste au talent fou

Elle n’a pas encore 12 ans, «11 ans et demi» précise-t-elle, mais déjà un talent plus que certain pour le piano. Les cheveux longs, vêtue d’une robe rouge qu’elle a mise spécialement pour la photo, Emma Saskia Bähler s’assied devant les touches du piano qui trône dans le salon de sa maison à Avenches, où elle vit avec sa mère, Sybille. «Bon, j’essaie», dit-elle avant d’attaquer une pièce de Debussy, Poissons d’or, qu’elle n’a plus joué depuis qu’elle l’a présenté en septembre dernier lors d’un concert à Bienne. Elle joue sans partition. Les notes sonnent rapides et légères, comme si la musique lui sortait des doigts. (...)

  • Suite dans notre édition de la semaine.

Maintien et record pour Vully-Broye

Cette journée aurait pu tourner au cauchemar pour Vully-Broye, elle restera finalement comme l’un des meilleurs souvenirs de la société. Samedi dernier à Reiden dans le canton de Lucerne, les Broyards ont assuré leur maintien dans le championnat suisse par équipes de ligue nationale A. Une première dans l’histoire de la société après l’échec subi en 2012. La compétition avait pourtant fort mal commencé par une défaite face à Feld-Meilen, après une performance d’ensemble assez moyenne.

Sujet complet à découvrir dans l'édition de la semaine

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Pas de vainqueur dans le derby broyard de première ligue

  • Alain Schafer 30.04.2025

Au terme d’un match qui n’a pas déchaîné les passions, Portalban/Gletterens et Stade-Payerne se sont quittés bons voisins dimanche 27 mai. Les deux blocs...