Grandes manœuvres lancées au port de Chevroux

Le plus grand port d’Europe en eaux fermées, avec ses quelque 1100 places d’amarrage, s’apprête à changer de visage. La commune de Chevroux vient de mettre à l’enquête publique divers travaux d’aménagement tels que le changement des pontons ou l’élargissement et rehaussement de la digue nord. Une première étape du chantier déjà estimée à 7 millions de francs, qui devrait permettre de renouvellement de l’acte de concession d’exploitation du port de plaisance sur le domaine public, lequel sera échu à la fin de l’année 2019.
Une seconde étape est prévue pour aménager un nouveau débarcadère plus pratique pour les bateaux de la LNM pour un devis d’environ 3 millions de francs. Même si diverses subventions sont attendues, cet investissement pourrait être contesté.

  • Suite et plus d'infos dans notre édition de la semaine.

Bry - 28.06.2017

Chargement...

Toutes les galeries
Bry - 28.06.2017

Chargement...

Toutes les galeries
Bry - 28.06.2017

Chargement...

Toutes les galeries

Un week-end placé sous le signe équin

Organiser un événement équestre sur herbe comporte toujours quelques risques liés à la météo. Après une édition 2016 amputée de trois journées d’épreuves, le concours hippique d’Estavayer s’est réconcilié avec le ciel cette année. Seule alerte, l’orage du mercredi soir qui a forcé les organisateurs à interrompre la première épreuve et à annuler la seconde. Sinon, le bilan est au beau fixe. «Le parcours était au top et les épreuves nationales du vendredi ont attiré un public nombreux, grâce notamment à la Fête-Dieu», se réjouit Florian Dedelley, président du concours. Côté sportif, bilan positif aussi pour les cavaliers régionaux, à l’image de Martine Durussel Aeberhard qui a trusté les premiers rangs et de Jordan Schoch, très régulier. Enfin, Valérie Schürch s’est imposée dans le championnat fribourgeois jeunes cavaliers.

Sujet complet à découvrir dans l'édition de la semaine

L'envie d'aller voir plus haut était trop forte

Certes, la promotion historique de Portalban/Gletterens acquise samedi dernier fait causer au bord des terrains et dans les bistrots. Est-ce bien raisonnable pour deux villages de 1000 habitants chacun d’avoir une équipe évoluant en 1re ligue aux côtés des deux pôles Fribourg et Guin? Pourtant, en se tenant à son seuil, les Pêcheurs ne pouvaient pas ne pas essayer d’aller voir à l’intérieur de cette catégorie supérieure. Ils ont allégrement enfoncé cette porte entre-ouverte en remportant la finale du groupe face à un Bulle obligé de gagner, dans un stade des Grèves garni de 1500 spectateurs.

Sujet complet à découvrir dans l'édition de la semaine

Un projet immobilier conséquent arrêté par la présence de vestiges historiques

Le projet immobilier à côté du Milavy s’annonce ambitieux. Selon la mise à l’enquête déposée en 2013, il devrait accueillir trois immeubles d’habitation et deux bâtiments de service comprenant un hôtel, une banque, des commerces et un office postal. Le projet n’avait rencontré aucune opposition et le permis de construire a été délivré en 2015. L’an dernier La Poste avait d’ailleurs communiqué son déménagement pour 2018.

C’était sans compter sur les spécificités de l’ancienne capitale de l’Helvétie romaine et ses nombreux trésors archéologiques encore cachés. Comme c’est souvent le cas lors de grands projets sur une parcelle proche d’un site archéologique, une campagne de sondages exploratoires a été ajoutée au permis de construire par l’archéologie cantonale. Réalisée à l’automne dernier, elle a révélé la présence de nombreux vestiges intéressants sur la parcelle de 9000 m2. Depuis, rien n’a bougé et les travaux n’ont toujours pas débuté.

 

Développement à lire dans notre édition de ce jeudi.

Guillaume voit la vie en roses

La semaine dernière, il valait mieux ne pas demander à Guillaume Gomonet comment il allait. Jeudi matin, après le passage de l’orage de la veille, l’horticulteur staviacois n’avait pas la mine des grands jours en voyant l’état des massifs de la Roseraie Thérèse Meyer, au bord du lac. Mais après quelques minutes et deux ou trois questions sur sa fleur fétiche et Guillaume retrouvait la joie de vivre.

L’horticulteur paysagiste est membre du comité d’organisation du Festival des roses depuis sa création. Ce spécialiste est aussi devenu l’un des dix «Monsieur Jardinier», de la RTS La Première. «C’est un peu par hasard, en 2013, lors du festival, la responsable de l’émission voulait que je vienne parler en direct. Je ne savais pas trop quoi leur dire, sourit-il. Après le festival, elle m’a rappelé pour dire que ma voix passait bien à l’antenne et qu’elle souhaitait que je participe régulièrement à l’émission. Je n’étais pas trop emballé. J’ai réfléchi et j’ai fini par dire oui.» 

Rencontre et programme du festival à lire dans notre édition de ce jeudi.

Pages

Dernière Galerie

Pas de vainqueur dans le derby broyard de première ligue

  • Alain Schafer 30.04.2025

Au terme d’un match qui n’a pas déchaîné les passions, Portalban/Gletterens et Stade-Payerne se sont quittés bons voisins dimanche 27 mai. Les deux blocs...