Ne laisser aucune chance aux tricheurs

«Tolérance zéro». L’expression est forte, mais Jean-Pierre Kratzer, président de la Fédération suisse des courses de chevaux (FSC) et directeur de l’Institut équestre national d’Avenches (IENA), n’hésite pas à l’utiliser lorsqu’il évoque la lutte antidopage. Revenue sur le devant de la scène après la suspension du cavalier Steve Guerdat, la lutte antidopage fait débat dans le milieu des chevaux. Dans le monde des courses, dont celles qui se déroulent à Avenches, on ne laisse que peu de place au doute: «Lorsqu’un cheval prend le départ, il ne doit avoir aucune trace de produit qui peut agir sur son organisme», indique le président.
A de rares exceptions, comme les vaccins, les médications qui agissent sur les différents systèmes sont prohibées pour tout cheval déclaré partant. A cette catégorie s’ajoute celle des substances interdites pour les chevaux déclarés à l’entraînement. Cette dernière comprend les produits purement dopants, tels que les stéroïdes. (...)

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