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Dernier tour de vis pour la quincaillerie

La ville de Payerne va tout prochainement perdre un nouveau pan de son histoire commerciale. La mythique quincaillerie Rapin va fermer boutique ces prochaines semaines. L’occasion de revenir sur une histoire familiale, avec des moustachus qui ont traversé deux siècles.

Ils ont voulu poser dans le bureau qui n’a guère changé au cours des décennies. De gauche à droite, Claude et Charlotte Rapin et Béatrice Gaiani. En arrière-plan, l’arrière-grand-père Daniel Rapin, fondateur.Photo rémy gilliand et dr

«Tout ce que vous ne trouvez pas ailleurs, vous le trouverez à la quincaillerie Rapin», cette tirade bien connue des Payernois a le don de faire sortir Claude Rapin de ses gonds. «C’est bien souvent parce qu’ils sont allés voir ailleurs que certains venaient chez nous en dernier ressort et trouvaient leur bonheur», sourit le Payernois.

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