Réalisée par Samuel Hofer, cette main représente bien la vision que se fait Annelise Ogi-Hurni de son travail.Photo PK

«On n’aimerait pas seulement êtreentendu, mais écouté»

«Je ne veux pas que les gens croient que je défends ma cause, mon bifteck. On défend une cause.» La cause pour laquelle se bat Annelise Ogi-Hurni, vigneronne à Bellerive, c...